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    Au cours de mon séjour j'ai rencontré une belle personne avec qui j'aurais pu partager une belle amitié. Mais les choses ne ceux sont pas déroulées comme je le souhaitais. Elle a refusé cette amitié. C'est la première fois que je prends un râteau! Maintenant je peux dire qu'il est difficile de ce lié d'amitié quand on est handicapé. J'ai pris une sacrée uppercut. J'essaie de m'en remettre doucement mais ce n'est pas ci facile! Les quelques propos que je lui ai prodiguée sont en quelques sorte dans mon histoire. Une sensation étrange et spéciale parfois m'envahit tous les jours, sans le vouloir. Je ne sais comment elle vient, c'est comme ça. Comment pourrais-je exprimer ce que je ressens au fond de mon cœur autrement que par des larmes. Je ne comprends pas le pourquoi du comment.

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    Dois-je continuer à faire semblant que tout va bien? J'aimerais parler à quelqu'un, sentir son odeur, sa présence, tenir sa main tout simplement sans aucune inquiétude.Cela n'est peut être que passager et ça va disparaître! C'est la solitude qui me dicte ces mots, une impression forte. Je suis peut être bien entouré, rare sont ceux à qui je pourrais me confier. Souvent j'ai besoin de quelqu'un pour qu'on puisse m'aider. Ce n'est pas chose facile. Au moins j'essaye. Ce n'est pas si évident, de sourire à son entourage tout le temps. Je m'encourage, mais le cœur ne suit pas forcément. En attendant, j'essaye de mon mieux à aller de l'avant pour des jours meilleurs. Parfois quand je regarde derrière moi, je m'interroge. Les choses qui me tourmentent je m'efforce à les évacuer de mon esprit.

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    Comme tous les matins, Patton mon chien, un superbe rottweiler, à la fourrure noire et feu, me poussa hors du lit. C'est que ce gros chien chien a de la voix. Pas question que je prenne un café! Pépère trop pressé, fait des glissades dans le couloir. A chaque fois, il finit sa course en embrassant la porte d'entrée. Quel patapouf! Six heures sonne de la cuisine. Un frémissement se fait entendre, le goutte à goutte de la machine à café commençait à dégager une agréable odeur. Le temps de sortir Patton, le café sera prêt. Nous allons toujours dans un champ à proximité de la maison. J'enlève sa laisse et le voilà parti dans un galop en zigzaguant. Il course des petits lapins ou des mulots. Heureux le Patton! Le moment le plus pénible est quand je l'appelle pour rentrer. On se dirige vers la boulangerie quand soudain je suis pris de vertiges. Je pose mon bras sur la vitre de la boutique et m'accroupis. Le temps de récupérer et hop, je me relève. Je me posais des questions. Que m'arrive t'-il? Je prend mon pain.

     

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