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    Au bout de plusieurs mois, je m'habituais au collège. Un jour, avec un copain de troisième année, on faisait le mur pour aller en ville. Il fréquentait une fille du village. Il fallait faire vite pour revenir. On partait à l'heure des récréations. Tout ce passait à merveille. Je commençais à flirter, c'était agréable. Quand un jour on arrivait en retard. J'ai dis à mon professeur que j'étais aux toilettes. ((Pour cette fois, je passe.)) Me dit-il. Ouf, j'avais eut chaud. Mon pote fût consigné à une heure d'études. On s'en tirait bien. Ce qui ne nous empêchait pas de continuer. C'est mon pote Jean Pierre Oback qui m'a fait connaître cette fille. Elle s'appelait Evelyne. Puis pour essayer, je commençais à fumer. Du moins, je goûtais ! Je prenais vite l'habitude à ce goût. Mes premières cigarettes étaient des (rallye) puis ensuite, des (flash, des kools, des Ariel, et des air France...Bref, je fumai. J'étais fier de rentrer chez mes parents nourricier quand j'avais mon carnet de notes. L'école me plaisait bien, surtout le dessin industriel et la technologie. Ma préférence était sans discuter :(l'atelier de maçonnerie). J'étais super curieux. En général très observateur, j'allais regarder les plombiers, les menuisiers, les charpentiers et les couvreurs. J'aimais bien ces corps de métiers.

     

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    Plus tard cela me servirait peut-être ? Ma troisième année étant terminée, j'étais fier de ramener mon diplôme de maçonnerie à mes parents nourriciers. Ils étaient comme des parents avec moi. J'avais maintenant seize ans. Je les aidais beaucoup, Jeannine avait du mal à faire son jardin et autres... Je me dévouais aux lourdes tâches. Un jour, je demande à Jeannine ; (peux-tu m'emmener à Montmorency voir Madame François) Serviablement elle me répond (bien sur mon chéri) Elle faisait tout pour me rendre service. Adorable ! Certes, elle l'était, On alla voir Madame François, entre temps, Jeannine c'était arrêtée chez un fleuriste. Arrivé devant la porte du foyer, j'eu un moment pénible à pénétrer cette cour. On entra malgré ma crainte, monta l'escalier et Jeannine fit le (toc toc). On entendit sa voix rauque, usée par la cigarette après tant d'année ! (Entrez). J'ouvrais cette porte et me précipitais vers elle en l'embrassant. Jeannine lui offrit les fleurs et discutèrent un bon moment. Quand je réaparûs dans le bureau, j'avais une cigarette entre mes doigts. Madame François me complimentait de ma prestation chez mes parents nourriciers, et sur mes études.

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