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    Je passais une journée formidable. Patrick me ramena au foyer. A ma grande surprise, le moniteur en me voyant me dit: Gérard, tu as de la visite, deux filles t’attende au Drugstore avec Michel ton copain. Je me demandais: (qui peut venir me voir?) Je courais un bon cent mètres. J’entrais, et je vis ma dulcinée devant moi. Elle se leva, courut dans mes bras et m’embrassa. Ma chérie, comment se fait-il que le foyer t’a donné la permission de venir à Bordeaux? Je t’expliquerais, me dit-elle. Ou vas-tu loger? Avec toi. Je ne peux pas. Le foyer n’accepte pas les filles. J’étais fort bien inquiet. Je m’approchais de mon pote Michel, et lui demande: Tu peux demander à tes parents de les héberger pour quelques jours? Il me répond (oui je vais leur demander). Il téléphona à sa mère. Elle lui dit(seulement ce week--end). Je ne pouvais pas les emmener à l’hôtel, on était tous mineur. On était seulement Jeudi. Que faire? Soudain, il me venait une idée ! Écoutez les filles, se soir je vous invite au restaurant du coin et on va essayer de rentrer au foyer. Quand penses tu Michel? Avec son accent Bordelais, il me dit: Oh! Mestoune, pardi on va essayer!!!

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    Arrivé minuit, on montait doucement sans faire de bruit. On n'avait réussit. Pour ne pas nous mettre en danger, les filles dormaient dans mon lit et moi au sol du côté de ma bien aimée. Je m'endormais heureux la main dans la sienne. Toute la nuit, je n'ai dormis que d'un œil. L'heure venue, je réveillais ma petite chérie, je lui dis en l'embrassant, (il est l'heure de se lever, ma puce). Sans parler, elle secoua sa copine en lui mettant la main sur la bouche. Pour la toilette, il n'était pas question qu'elle l'a fasse au foyer. Trop dangereux pour nous. On réussi à sortir sans peine. On alla au café du coin pour les filles. Elles se débrouillèrent pour s'arranger au maximum. Je commandais les chocolats chaud avec tartines beurrées. J'expliquais aux filles où était mon travail. Ma chérie, je voudrais bien rester avec toi, mais il faut que j'aille travailler. Rejoint moi à l'adresse de l'atelier ce soir. En fin de journée, les filles étaient la, m'attendant avec impatience. On partait main dans la main, tout en embrassant vers le foyer. Attendez moi, je reviens ! Je montais les marches de l'escalier à une vitesse d'agile. En même temps que je courai, j'appelais : (Michel) mon pote en criant. Ingénieux, il était rentré de son job. Je lui demande : (écoute Michel, c'est au sujet des filles. Peux-tu téléphoner à ta mère, demande lui si les filles pouvaient venir ce soir, ça m'arrangerai.

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